Je n’ai pas dit mes derniers maux ! Un seul en scène de Bernard Bitan

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Bernard Bitan est de retour à l’ECUJE pour des représentations exclusives de son seul en scène « Je n’ai pas dit mes derniers maux ! », le spectacle est prolongé le 17 déc. à 20h30 !

Après avoir fait salle comble lors de ses premières représentations en novembre 2023, Bernard Bitan revient sur la scène de l’ECUJE pour deux représentations exclusives de son spectacle « Je n’ai pas dit mes derniers maux ! », les 18 et 21 novembre 2024. Une nouvelle date a été ajoutée le mardi 17 décembre 2024. Ce seul en scène, écrit et interprété par le talentueux comédien et metteur en scène franco-israélien, a marqué les esprits par sa profondeur, son intensité et son engagement.

Dans ce spectacle vibrant, Bernard Bitan offre une véritable tribune à la voix du peuple juif et à l’histoire d’Israël, tout en abordant des questions universelles sur l’identité, la mémoire et la résilience. À travers sa performance, il rend également hommage aux victimes du massacre du 7 octobre 2023, une tragédie où des Israéliens ont été pris pour cible dans une violence inouïe. Ce drame résonne dans « Je n’ai pas dit mes derniers maux ! », où l’actualité brûlante se mêle à des thèmes intemporels, rappelant la fragilité de l’existence et la force de la survie.

Avec une performance à la fois personnelle et universelle, Bernard Bitan conjugue émotion et humour pour délivrer un plaidoyer sans concessions. Le spectacle invite à une réflexion profonde sur l’humanité, la solidarité et les enjeux contemporains. Malgré la gravité du propos, l’humour mordant du comédien apporte une légèreté bienvenue, rendant cette expérience aussi percutante que bouleversante.

Ne manquez pas cette chance unique d’assister à ce spectacle puissant et poignant, où les vérités sont dites sans filtre, mais avec une rare humanité.

Les places sont limitées, réservez dès maintenant pour vivre cette expérience mémorable !

Réservations


  • Monde – “Comment les Juifs séfarades ont dû quitter les terres d’Islam”, Hubert Lévy-Lambert

Tribune. Entre 1948 et les années 1960, 900 000 Juifs ont dû quitter les pays arabes où ils vivaient depuis toujours, rappelle Hubert Lévy-Lambert, le président de l’association des Amis du Musée du monde séfarade.

Publié le 29 novembre dans Le Figaro

Depuis 2014, en Israël, le 30 novembre est la Journée annuelle de commémoration de l’exil des réfugiés juifs du monde arabe. Alors que l’on parle régulièrement, aux Nations unies et ailleurs, du sort des Arabes ayant quitté la Palestine lors de la création de l’État d’Israël, on parle moins des Juifs qui ont vécu naguère dans des pays méditerranéens et orientaux, notamment en Algérie, Irak, Iran, Liban, Libye, Maroc, Syrie, Tunisie, au Yémen.

Dans les quelques années qui suivirent la création de l’État d’Israël et de décolonisation, environ 900.000 Juifs ont dû quitter ces pays où ils vivaient depuis des siècles, voire des millénaires, bien avant la conquête musulmane. Beaucoup ont été privés de leurs biens et victimes de violences et de persécutions. Deux tiers d’entre eux se sont réfugiés en Israël, qui les a absorbés rapidement, après un bref passage dans des camps d’accueil. Les autres ont essaimé à travers le monde, notamment en France, Italie, Royaume-Uni, Canada, États-Unis, Argentine ou Brésil.

L’histoire de cette destruction de toutes les communautés juives en terre d’Islam n’a quasiment pas été racontée, ni analysée, sinon dans quelques films documentaires comme celui de Michaël Grynszpan, Les Réfugiés oubliés (2007), ou dans des livres. On peut citer Shmuel Trigano (L’Exclusion des Juifs des pays arabes et le contentieux israélo-arabe, Éditions In Press, 2003), Georges Bensoussan (Juifs en pays arabes. Le grand déracinement, Tallandier, 2012), ou Lyn Julius (Uprooted, Vallentine Mitchell, 2018).

Les communautés juives d’Iran, du Liban, de Libye, de Syrie, de Turquie ou du Yémen, dont certaines existaient bien avant Jésus-Christ, ont également quasi complètement disparu.

On peut également lire de nombreuses monographies nostalgiques. L’historien Benjamin Stora, né en 1950 à Constantine, raconte le triste sort des 140.000 juifs d’Algérie, fiers d’avoir obtenu la nationalité française grâce au décret Crémieux de 1870 – temporairement abrogé par Vichy – dont on fête aujourd’hui le sesquicentenaire (Les Trois Exils. Juifs d’Algérie, Pluriel, 2011). Certains d’eux voyaient d’un bon œil
les velléités d’indépendance des Algériens, mais ont dû faire vite leur valise après l’incendie de la synagogue d’Alger en 1960 et l’assassinat de Raymond Leyris, beau-père d’Enrico Macias, à Constantine en 1961, pour rejoindre en masse la métropole en 1962, comme leurs compatriotes non juifs devenus «rapatriés». Lire la suite

  • « Alexandria Adieu » capture le charme perdu d’une ville autrefois cosmopolite

Alexandrie, comme son nom l’indique, était à l’origine une ville grecque, mais aujourd’hui, il serait difficile d’y trouver plus d’une poignée de Grecs, ou encore des Arméniens, des Juifs, des Maltais, des chrétiens orthodoxes ou des Italiens qui ont autrefois fait de la deuxième ville d’Égypte l’une des plus cosmopolites. Dans Alexandria   Adieu (Nomad, 2022), Adel Darwich évoque ses fantômes 

Un récit double : l’un des journalistes les plus perspicaces de notre époque raconte l’histoire enchanteresse de cette ville d’une beauté envoûtante.

Adel Darwish a été une figure éminente de la galerie de presse de la Chambre des communes du Royaume-Uni au cours de certains des bouleversements politiques les plus tumultueux de l’ère moderne.

Ses reportages et ses analyses ont informé littéralement des millions de personnes, à la fois dans la région du Moyen-Orient et à l’étranger, et il est une figure régulière des chaînes d’information par satellite du monde entier.

Dans Alexandria Adieu , il partage un récit oculaire de la vie dans cette ville cosmopolite et ancienne unique entre la Seconde Guerre mondiale et 1960.

Au cours de cette période, il fut témoin de l’exode de plus de 100 000 Alexandrins dispersés dans le monde entier et de la triste disparition de nombreuses grandes institutions et traditions de la ville.

Ce livre raconte cette histoire et capture le charme perdu, en s’appuyant non seulement sur ses propres expériences personnelles dans la ville de sa naissance, mais aussi sur le riche contexte historique et le profond héritage littéraire. Lire la suite

  • Le mythe de l’Israël blanc

A l’occasion du Mois du patrimoine mizrahi, Rachel O’Donoghue explique dans 
Spiked  que l’étiquette de « colonisateur blanc » appliquée aux Israéliens est fausse. Le nettoyage ethnique des Juifs du Moyen-Orient et d’Afrique du Nord – qui n’avaient jamais mis les pieds en Europe – a été un événement majeur qui a remodelé la région. Les expulsions massives de Juifs qui ont suivi la création d’Israël n’ont été que l’aboutissement d’une longue histoire d’asservissement.

Réfugiés juifs des pays arabes dans un camp de tentes israélien

L’étiquette de « colonisateur blanc » est tout simplement fausse. Par souci de concision, laissons de côté des millénaires d’histoire juive, qui témoignent d’une présence juive continue sur la terre qui est aujourd’hui l’Israël moderne. Sans parler du fait que la diaspora juive est le produit de vagues de dispersion forcée des Juifs de leur patrie ancestrale, en grande partie à cause des guerres et des persécutions.

Revenons plutôt au 14 mai 1948, date à laquelle Israël a officiellement  proclamé son indépendance , coïncidant avec l’expiration du mandat britannique sur la Palestine. Cette déclaration s’est produite quelques mois après l’adoption par les Nations Unies de la résolution 181 (II) – une mesure acceptée par les dirigeants juifs – qui recommandait le partage du territoire en un État juif et un État arabe.

Après la déclaration d’Israël, deux événements majeurs ont remodelé la région. Le 15 mai 1948, une coalition d’armées arabes voisines – celles du Liban, de la Syrie, de l’Irak, de la Jordanie et de l’Égypte –  lançait une attaque contre le jeune État juif . Au même moment,  une vaste expulsion des Juifs  commençait à travers l’Afrique du Nord, le Moyen-Orient et le Golfe, visant un groupe ethnique entier qui vivait sur ces terres depuis des milliers d’années.

Entre 1948 et le début des années 1970,  près d’un million de Juifs ont été chassés de chez eux  dans toute la région, ce qui a eu pour effet de faire disparaître des communautés vieilles de plusieurs siècles. La population juive irakienne, autrefois florissante, de 130 000 personnes, a été réduite à une quasi-extinction,  avec 120 000 personnes ayant fui  au début des années 1950.  Les 50 000 Juifs du Yémen ont disparu  en l’espace d’un an à partir de 1949, tandis que  les 30 000 Juifs de Syrie ont été chassés par l’escalade de la violence. Lire la suite

  • La liberté d’expression, c’est par où ? par Riss

Un écrivain, Boualem Sansal, a disparu. Ce n’est pas toutes les semaines qu’on a l’occasion d’écrire ces mots. Arrêté par la police à sa descente d’avion.

Par Lesekreis — Travail personnel, CC0

On a l’impression de revenir dans les années 1970, quand des musiciens, des artistes, des intellectuels « disparaissaient » en Argentine et au Chili. La police ou l’armée les embarquaient dans leurs camions vers une destination inconnue d’où ils ne revenaient jamais. Ce cauchemar qu’on pensait appartenir au passé s’est reproduit le 16 novembre avec l’écrivain algérien Boualem Sansal, arrêté à son arrivée à l’aéroport d’Alger. Le pouvoir algérien ne supporte pas ceux qui, de près ou de loin, le critiquent.

Quand des membres de Charlie rencontrent des étudiants ou des lycéens, la question que souvent ces derniers leur posent est la suivante : quelles sont les limites de la liberté d’expression ? Sa limitation semble les préoccuper davantage que son extension. L’arrestation de Boualem Sansal leur fournit une réponse. En ce début de XXIe siècle, il existe encore, à quelques heures de Paris, des régimes qui arrêtent et enferment des écrivains. C’est là la conception des limites de la liberté d’expression de ce type de gouvernement. Au bout du canon d’un fusil.

Ce pays est dirigé par le même parti depuis quasiment soixante-deux ans. Le FLN, Front de libération nationale, a de moins en moins à voir avec une « libération », mais de plus en plus avec un « Front national » : nationaliste, xénophobe et autoritaire. L’arbitraire et le fascisme n’ont pas de couleur de peau. On les trouve sous toutes les latitudes, sur tous les continents. Avoir subi le joug de la colonisation n’empêche pas de se comporter comme ceux dont on voulait se libérer. Lire la suite

  • Le Mémorial de la Shoah diffuse massivement les témoignages de rescapés des camps nazis

À deux mois du 80ᵉ anniversaire de la libération d’Auschwitz, le 27 janvier, l’institution publie sur YouTube plus d’un millier de récits de survivants

Le Mémorial de la Shoah a mis en ligne mercredi 27 novembre plus d’un millier de vidéos de témoignages de survivants, offrant une « autre manière d’entrer dans la grande Histoire » à mesure que les derniers rescapés s’éteignent, explique Jacques Fredj, directeur de l’institution, à l’AFP. «Nous avons un millier de témoignages que nous allons mettre progressivement à disposition du grand public» sur la chaîne YouTube du Mémorial de la Shoah, avec ces vidéos estampillées Les Voix des témoins, précise Jacques Fredj. La démarche débute deux mois avant le 80e anniversaire de la libération du camp nazi d’Auschwitz, le 27 janvier 1945.

Par BrnGrby — Travail personnel, CC BY-SA 4.0

Rescapés, enfants cachés, résistants ou «justes», ces témoignages en français, d’un format «pouvant aller jusqu’à quatre heures», étaient jusqu’à présent disponibles dans la salle de lecture du Mémorial .«Dans la perspective du 80e anniversaire de la libération des camps et au regard du climat d’explosion des actes antisémites on s’est dit que ça pouvait être aussi intéressant de le mettre à la disposition du grand public», explique Jacques Fredj. Selon lui, « le témoignage a l’avantage de transmettre une histoire personnelle, individuelle, familiale. C’est une autre porte d’entrée de l’Histoire avec un grand H, parfois plus percutant pour certains élèves ». Il insiste également sur l’impact des témoins lorsqu’ils interviennent dans les écoles : « Pouvoir parler directement à quelqu’un, l’écouter, le toucher, obtenir des réponses rend l’événement plus proche et plus réel. » Lire la suite

  • Un « shabbat-ramadan » pour faire dialoguer les communautés

C’est l’idée de Langage de femmes, dont les adhérentes sont musulmanes, juives, chrétiennes ou athées. Rencontre avec la cofondatrice de l’association.

Elles sont de cultures, de religions et d’horizons très divers et parviennent à lutter, ensemble, contre toutes les formes de discrimination… Lorsque nous les rencontrons, Suzanne Nakache, cofondatrice de l’association Langage de femmes, et Louise Hall, l’une de ses plus jeunes membres, ont conscience de porter le dialogue interculturel à bout de bras, dans une France parfois déchirée de tensions.

Créée en 2017 par Suzanne Nakache, de confession juive, et Samia Essabaa, de confession musulmane, l’association compte aujourd’hui un peu plus de 800 adhérentes, déterminées à « dépasser les fractures actuelles de la société française ». Avec des visites annuelles dans des lieux de mémoire, comme le camp d’Auschwitz ou le Mémorial de l’abolition de l’esclavage à Nantes, l’association se réunit également autour de dîners qui célèbrent aussi bien le shabbat et la rupture du jeûne du ramadan que la galette des Rois. Lire la suite

  • Le Saviez-Vous ? Sur Richard Berry

Richard Berry, né le 31 juillet 1950 à Paris, est un acteur, réalisateur et scénariste français de renom, connu pour ses rôles marquants dans des films et pièces de théâtre. Ses origines juives séfarades ont profondément marqué son identité et sa trajectoire personnelle et artistique.

Richard Berry est issu d’une famille juive originaire d’Afrique du Nord. Son père, Maurice Benguigui, était tailleur, et sa mère, Stella Valency, femme au foyer, étaient tous deux natifs d’Algérie, alors colonie française. Le patronyme “Benguigui” reflète leurs origines séfarades. En quittant l’Algérie pour s’installer en France, la famille Berry, comme de nombreux Juifs nord-africains, a dû s’adapter à un nouvel environnement tout en préservant son héritage culturel.

Par Georges Biard, CC BY-SA 3.0

Tout au long de sa carrière, Richard Berry a joué dans de nombreux films mémorables qui ont marqué le cinéma français. Parmi ses œuvres les plus célèbres, on trouve “L’Immortel” (2010), où il interprète un rôle puissant dans un thriller sombre. Il s’est également illustré dans des comédies comme “Pédale douce” (1996), pour lequel il a reçu une nomination aux César, ou encore “La Balance” (1982), un drame policier marquant. D’autres films notables incluent “Tais-toi !” (2003) aux côtés de Jean Reno et Gérard Depardieu, ainsi que “Nos femmes” (2015), une adaptation de la pièce qu’il a également interprétée au théâtre.

Richard Berry a souvent mentionné dans ses interviews l’importance de ses racines juives séfarades, qui ont influencé son regard sur la vie et ses choix artistiques. Bien que son œuvre ne se concentre pas explicitement sur ce thème, il a toujours revendiqué avec fierté son héritage.

Jacques LEVY Lire la suite

Evénements en cours ou à venir

  • Spectacle Hanina dim. 15 déc. | Maison de la Culture de Nogent

Hanina actualise les chants de noces séfarades de l’Ex-Empire Ottoman. Hanina fait référence à toutes ces femmes devenues séfarades à la suite de leur expulsion d’Espagne en 1492 qui sont parvenues à maintenir leur identité et leurs spécificités à travers le temps. Billetterie

  • Cérémonie commémorative de la rafle des Juifs de Tunis par les SS (9 décembre 1942)Dimanche 8 Décembre 2024 à 10 heures 45– SHJT

Une cérémonie est organisée à Paris en hommage aux victimes de la rafle des Juifs de Tunis par les SS, le 9 décembre 1942.

Sous l’autorité du Colonel S.S. Walter Rauff, les nazis ont persécuté la population juive de Tunisie de novembre 1942 à la libération de Tunis par les Forces alliées, le 8 mai 1943.

Le 9 décembre 1942, Walter Rauff procéda à l’arrestation de cent otages juifs suivie de l’assassinat de nombreux membres de la communauté juive de Tunis réunis à la Grande Synagogue, au saccage des rouleaux de Torah et à la profanation de la synagogue.

En mémoire des Juifs de Tunisie victimes de la Shoah au Mémorial de la Shoah 17 rue Geoffroy l’Asnier 75004 PARIS et en présence de différentes personnalités civiles et militaires

Entrée libre

Dimanche 8 Décembre 2024 à 14 heures
Table-ronde sur les Juifs de Tunisie pendant la Seconde Guerre mondiale :

S’ENGAGER, SURVIVRE ET RESISTER : LES JUIFS DE TUNISIE A L’HEURE DES PERILS

Avec la participation de :

  • Jérémy Guedj (Université Côte d’Azur) : Les Juifs de Tunisie face aux fascismes dans les années 1930
  • Marie-Anne Guez : 1943-1945 : La participation des Juifs de Tunisie des Juifs de Tunisie dans les rangs des Forces françaises libres
  • Martino Oppizzi : Départs, expulsions et déportations : trajectoires d’émigration des Juifs italiens de Tunisie pendant la Seconde Guerre mondiale

Auditorium du Mémorial de la Shoah 17 rue Geoffroy l’Asnier 75004 Paris Réservations

Des Juifs sont réquisitionnés par l’administration nazie pour le travail forcé, à Tunis. Tunisie, 12/1942 © Mémorial de la Shoah/CDJC.

  • Rencontres généalogiques – Atelier – MAHJ – Mercredi 4 décembre 2024 – 17:30 -19:30

Le premier mercredi du mois de 17h30 à 19h30

Venez rencontrer des membres du Cercle de Généalogie Juive qui vous aident à établir ou à enrichir votre généalogie juive personnelle

Atelier de généalogie par les membres du Cercle de généalogie juive


Cet atelier est une initiation pour toute personne souhaitant commencer une recherche généalogique.
Les intervenantes, chacune spécialiste d’une aire culturelle (Maghreb, Europe orientale, etc.), indiquent aux participants les méthodes et les outils informatiques adaptés à leur cas. Réservations

  • Regards croisés sur l’intelligence artificielle – avec Rav Michael Azoulay et Vladimir Atlani – Jeudi 5 décembre à partir de 20h30

Réservations

  • Les ressources de l’enseignement : comment mener le combat scolaire contre l’antisémitisme – Mercredi 4 décembre 2024 – 19:00 -20:30 – MAHJ

Par Souâd Ayada,inspectrice générale de l’Éducation, du Sport et de la Recherche

Conférence organisée par le Nouveau colloque des intellectuels juifs (NCIJ), piloté par le collège des études juives et de philosophie contemporaine de l’université Paris-Sorbonne (Centre Emmanuel Levinas)

Suivie par une conversation entre Souâd Ayada et Perrine Simon-Nahum, historienne et philosophe, directrice de recherches au CNRS

Depuis plusieurs années, l’antisémitisme se banalise de manière croissante chez les plus jeunes, et la diffusion d’une idéologie islamiste subjugue les esprits de collégiens et lycéens de plus en plus nombreux. L’École semble impuissante devant ce double péril qui la nie dans sa vocation. Elle dispose, pourtant, dans les programmes scolaires de l’enseignement secondaire, d’armes intellectuelles pour défaire le sortilège islamiste et pour dissoudre la haine antisémite. Au-delà des programmes d’histoire et de philosophie, c’est l’enseignement comme tel qui se trouve engagé, comme exercice de la raison critique. Inspectrice générale de l’éducation, du sport et de la recherche, Souâd Ayada a présidé de 2017 à 2022 le Conseil supérieur des programmes, instance chargée de l’élaboration des programmes scolaires. Billetterie

  • De Paris à Tel Aviv : le voyage musical de Benjamin Petrover à l’ECUJE – Jeudi 5 décembre à 20h

Benjamin Petrover se produit à l’ECUJE pour un concert exceptionnel célébrant la musique française et israélienne. Venez vivre une soirée unique, dans une ambiance chaleureuse entre Paris et Tel Aviv

Des chansons, des anecdotes et le plaisir de chanter ensemble : Benjamin Petrover vous invite pour une grande soirée de musique !

L’ECUJE est ravi de vous proposer un événement exceptionnel : Benjamin Petrover, journaliste renommé et artiste aux multiples talents, vous propose un tour de chant inédit, le 5 décembre prochain. Plus connu pour sa voix dans les médias, Benjamin Petrover dévoilera cette fois-ci une autre facette de son talent : celle de chanteur, en français et en hébreu.

Le voyage commence à Paris, passe par Tel Aviv et nous fait redécouvrir la magie des liens culturels entre la France et Israël. De grands classiques de la chanson française revisités avec une touche israélienne, des standards israéliens qui ont trouvé leur chemin jusqu’à Paris : cette soirée sera un véritable voyage musical sans frontières. Benjamin vous réserve des anecdotes uniques qui feront vivre ces chansons autrement, en vous immergeant dans l’histoire qui les relie aux deux cultures.

Prêts à monter à bord de cette aventure musicale ? Venez partager le plaisir de chanter ensemble, d’écouter des histoires qui vous feront voyager et de célébrer la diversité culturelle qui unit Paris à Tel Aviv.

Le concert se déroulera dans un cadre feutré, avec un bar, une ambiance club et une atmosphère chaleureuse propice aux rencontres et au partage.

Rendez-vous le 5 décembre à l’ECUJE ! Ne manquez pas cette soirée inoubliable, une première en France, pour découvrir ou redécouvrir Benjamin Petrover comme vous ne l’avez jamais entendu.

Réservez vos places dès maintenant et montez à bord pour un voyage entre deux rives culturelles, entre la France et Israël, où la musique est le fil conducteur. Billetterie

  • Avishai Cohen Trio- Le 17 et 18 décembre au Duc des Lombards

Dans le cadre intimiste du club, le contrebassiste virtuose accompagné de son trio à l’alchimie impeccable interprétera le répertoire de « Brightlight », son nouveau disque paru le 25 octobre sur le label Naïve. Un événement !

Avishai Cohen – Contrebasse

Guy Moskovich – Piano

Roni Kaspi – Billetterie

  • Cultiver sa lumière intérieure : Un atelier de méditation juive avec Mira Neshama15 décembre 2024 à 10h30 – ECUJE

Vous voulez découvrir la méditation juive? Mira Neshama Weil arrive d’Israël pour vous faire vivre l’expérience directe de la Méditation Hassidique et de la Torah de la résilience.

Et si le changement du monde passait par le retour à Soi?

C’est le postulat de la méditation juive.
Dans la tradition Hassidique, l’introspection et le travail sur soi sont vus comme la meilleure façon de construire un monde meilleur.
C’est ce que nous apprend la techinque de méditatin Hashkata (le « calme ») enseignée par le Rav Shapira, dernier rabbin du ghetto de Varsovie.

« Le souffle-âme de l’humain est la bougie de Dieu. » Mishlei (20.27)

Comme le prophète Mishlei, la fête de Hanoukah nous invite à allumer nos lumières intérieures pour les faire briller sur le monde.

Après une année si sombre, nous avons besoin plus que jamais de nous rappeler qu’éclairer le monde commence par retrouver le chemin de notre propre lumière. 

C’est l’invitation de la méditation juive.


Rejoignez Rabbah Dr Mira Neshama Niculescu à l’ECUJE pour une session live de « Méditer avec la Torah », la série de Tenou’a.

La session comprend étude sur texte d’une méditation autour de la flamme tirée du Zohar, méditation guidée à partir de ce texte, et un temps de questions et d’échange.

Chacun(e) est le bienvenu(e), débutant(e) ou expérimenté(e). Venez comme vous êtes, avec simplement un désir de découvrir la sagesse juive du silence.

Envie d’approfondir votre pratique de la méditation et de vous reconnecter à la spiritualité du shabbat?

Rejoignez Mira lors d’une retraite de méditation juive en Normandie le shabbat du 6 au 8 décembre. Billetterie

Inscrivez-vous ici : https://www.miraneshama.com/retraite-shabbatique

Nouvelles lectures

  • Le Gardien de nos frères d’Arianne Bois

Entre 1939 et 1967, de Paris à Toulouse et de New York à Tel Aviv, l’extraordinaire destin de deux êtres fracassés
par la guerre.

Rien ne prédestinait Simon et Léna à se rencontrer. Lui appartient à la bourgeoisie juive parisienne, patriote, laïque et assimilée ; il a été maquisard et blessé au combat. Elle est issue d’un milieu de petits commerçants polonais et a
réussi à survivre au ghetto de Varsovie.

En 1945, la guerre leur a tout pris. Chacun de leur côté, ils vont accepter une mission très particulière : rechercher des enfants juifs cachés par leurs parents dans des familles, des orphelinats ou des couvents, quand il s’avère que ceux-ci ne rentreront pas des camps.

C’est l’histoire de deux jeunes révoltés qui, dans une France exsangue, vont se reconstruire grâce à la force de l’amour. Lire la suite

Édition : Charleston, 368 pages

  • Jacob, Jacob de Valérie Zenatti

Jacob est le plus sensible de sa fratrie. Il aime éprouver le vertige sur le pont suspendu de Constantine, la musique, le contact de l’eau. Lorsqu’il quitte l’Algérie pour servir l’armée française en 1944, le foyer souffre de son absence. Sa mère, sans nouvelles depuis des mois, part à sa recherche, prête à tout pour le revoir quelques instants. Elle ignore que son fils vient de débarquer en Provence.

Valérie Zenatti est l’auteur de En retard pour la guerre, Les Âmes sœurs et Mensonges. Elle est également scénariste et traductrice d’Aharon Appelfeld.

« Ici, le pays des origines, mille fois perdu et retrouvé, c’est la langue française, bousculée, magnifiée qui se charge de le réinventer. »

Le Monde

Lire la suite

Édition : Points, 192 pages

Bonnes lectures !

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