Marche pour la république et contre l’antisémitisme

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Message de Serge Dahan
Président de l’INSSEF

Les membres du Bureau de l”INSSEF appellent à rejoindre le rassemblement contre l’antisémitisme :
Dimanche 12 novembre à Paris à 15h00

Marchons ensemble pour une France unie contre l’antisémitisme.

Lieu de rendez- vous sous le panneau : « INSSEF »
Esplanade des invalides, à l’angle de l’avenue du Marechal Gallieni et rue de l’université.

  • Plus de 850 000 Juifs ont été expulsés ou ont fui les pays musulmans entre 1948 et 1980

Des communautés juives qui existaient depuis des millénaires, ont été anéanties en quelques décennies. Tout au long du mois de novembre nous présenterons leurs histoires. Lire la suite

  • Qui sont les Mizrahim ?

Ce terme désigne les communautés juives de la région MOAN. Ils parlaient l’arabe et le persan, ainsi que d’autres langues et vivaient dans toute la région. En 1948, environ un million vivaient en terres musulmanes. Aujourd’hui, près de 99% ont disparu.

Où sont-ils allés ?

La plupart des Mizrahim ont fui vers Israël, tandis que certains d’entre eux sont allés en Europe et aux Amériques. La plupart des Juifs israéliens sont des réfugiés ou des descendants de réfugiés juifs des pays musulmans sans aucune origine en Europe. Lire la suite

Le chauffeur Uber s’arrête soudainement et demande à Samuel Lejoyeux de descendre de la voiture. «J’annule la course», lui dit-il sans ménagement, ni même lui donner d’explication. Depuis une quinzaine de minutes, le jeune président de l’Union des étudiants juifs de France (UEJF) est en conversation avec Libération, qui l’interrogesur le climat qui règne dans les milieux juifs français depuis l’attaque terroriste du 7 octobre, menée par le Hamas. «C’est la première fois que cela m’arrive.» Samuel Lejoyeux est abasourdi. Nous aussi. «J’ai bien pris le numéro de sa place d’immatriculation. Mais c’est typiquement le genre d’acte qui est difficile à qualifier juridiquement. Ce que je viens de vivre là, les étudiants juifs le vivent quotidiennement.» Lire la suite

  • Le Massacre des Juifs d’Hébron – 1929

La rumeur est un outil de propagande très répandu chez les fomenteurs de troubles arabes, pour fédérer la foule et émeutiers, afin d’atteindre intellectuellement et physiquement les Juifs. La haine arabe contre les Juifs est tellement inculquée et intériorisée, personnifiée, que nul ne peut accepter la moindre présence juive au Moyen Orient.

Des nombreux prêches et sermons du vendredi incitent aujourd’hui encore, à la télévision officielle palestinienne à la haine des Juifs et se font l’écho de la motivation et du rôle qu’ont les musulmans dans le processus d’anéantissement des Juifs partout dans le monde.

La nouvelle stratégie mise en œuvre par l’Autorité palestinienne consiste à écarter tout lien religieux à Jérusalem et ses alentours avec le judaïsme, par l’adoption des résolutions au sein des institutions de l’ONU comme à l’UNESCO, et cela même s’ils sont en contradiction avec le texte sacré du Coran. Lire la suite

  • A Gaza, des soldats israéliens prient sur le site d’une synagogue datant du 6e siècle

Des tweets ont émergé suggérant que les soldats ont prié sur ce site antique, mais aucune photo n’a été partagée sur les réseaux sociaux

Pour la première fois en près de vingt ans, des soldats israéliens ont prié dans une ancienne synagogue de Gaza, un site sacré où aucun juif n’avait été autorisé à prier depuis des décennies. Les soldats sont arrivés sur le site à l’occasion de l’opération terrestre visant à éliminer le Hamas. Michael Freund, fondateur de l’organisation Shavei Israel, a partagé la nouvelle sur Twitter, exprimant son émotion : “Après des décennies, des soldats israéliens ont prié dans l’antique synagogue de Gaza, édifiée au 6ème siècle, où l’on a découvert il y a des années une magnifique mosaïque représentant le Roi David. Les Juifs sont de retour à Gaza !!” Lire la suite

  • De nombreux Israéliens sont des réfugiés des pays arabes, mais peu importe ?

Pourquoi les manifestants, les groupes de réflexion, les guerriers des médias sociaux et les diplomates ne protestent-ils pas pour les droits d’un autre groupe de réfugiés du Moyen-Orient qui ont également souffert au fil des décennies ? Edward Meir en fait partie. Il a été déplacé deux fois – une fois de son Irak natal et une seconde fois lorsque les mollahs ont pris le pouvoir en Iran en 1979. Lisez son article dans le Wall Street Journal :

Alors que les gens manifestent partout dans le monde pour les droits des Palestiniens, nous ne devons pas négliger un groupe de réfugiés de la région qui ont également souffert au fil des décennies, mais dont le sort est rarement évoqué par les manifestants, les responsables gouvernementaux, les groupes de réflexion politiques ou ceux sur les réseaux sociaux. . Je fais référence aux réfugiés juifs déplacés des pays arabes. Je devrais le savoir. Je suis un. Et notre histoire doit être racontée. Lire la suite

  • L’Union européenne et l’aide aux instances palestiniennes Par David Bensoussan

À la suite des tueries perpétrées par les terroristes du Hamas, un débat s’est engagé au sein de l’Union européenne (UE) pour réévaluer l’aide aux Palestiniens. Lorsque l’on prend conscience des sommes faramineuses investies par le Hamas dans la construction de tunnels et de missiles envoyés sans discrimination sur les villes et les villages israéliens et l’enseignement de la haine systématisé qui prévaut dans l’Autorité palestinienne, il devient nécessaire de réévaluer l’aide fournie aux instances palestiniennes et notamment l’aide aux réfugiés.

Lorsque la guerre du Vietnam prit fin, Jean Daniel, rédacteur en chef du Nouvel Observateur chercha à ne pas laisser la gauche perdre sa cohésion et décida de focaliser les débats sur la cause palestinienne qui finit par devenir la cause de la gauche « bien-pensante. » Cette cause s’appuya sur des considérations géopolitiques et tiers-mondistes, celle des réfugiés palestiniens étant à la base de combat. Penchons-nous sur ce dernier aspect particulier. Lire la suite

  • Essai Historique – Le temple d’Onias – Par Didier Nebot

Etrange histoire que celle de ce temple de Léontopolis. Voilà comment tout a commencé. En -195 avant Jésus Christ, la Judée, jusque-là sous le contrôle des Ptolémés, passait aux mains des grecs séleucides, plus durs, plus violents, plus immoraux que les anciens occupants.

 A la suite d’une série d’intrigues, en -175, Onias III, l’ancien grand Prêtre du Temple de Jérusalem, était assassiné par Andronicus, un des sbires des Grecs. Il s’ensuivit une grave guerre civile en Judée entre factions juives. Les Séleucides, ne pouvant tolérer un tel désordre, réagirent alors violemment, ils interdirent purement et simplement la religion juive, le Temple de Jérusalem étant dorénavant consacré à Zeus, avec obligation pour les Juifs de sacrifier aux dieux grecs.

Onias IV, le fils du Grand Prêtre Onias III, se réfugia alors en Egypte auprès des bienveillants Ptolémés, opposants aux Séleucides de Judée, qui lui donnèrent l’autorisation de construire un nouveau temple consacré à Yahvé, à Léontopolis, près d’Héliopolis, sur le modèle de celui de Jérusalem.

Onias IV se fit octroyer le titre de généralissime par les autorités locales et reçut une région autonome dont il fit son quartier général et appelée « Onion ». Lire la suite

Evénements en cours ou à venir

  • Traité sur l’intolérance de Richard Malka, par Stéphane Freiss – Lundi 27 novembre 2023 à 20h

Pour cette Lecture à l’ECUJE, c’est l’immense comédien Stéphane Freiss qui prête sa voix aux mots de Richard Malka dans son Traité sur l’intolérance (Grasset). La soirée est dédiée de la Tsedaka FSJU.

L’ECUJE a le plaisir de vous convier à une soirée exceptionnelle dédiée à la solidarité et à la campagne de la Tsedaka.

Rejoignez-nous pour une expérience littéraire et théâtrale captivante, où la voix du comédien et réalisateur Stéphane Freiss donnera vie aux mots de Richard Malka dans son ouvrage « Traité sur l’Intolérance », paru chez Grasset.

Ce livre profond est un manifeste qui explore de manière perspicace les enjeux contemporains autour de l’Islam et d’une vision ouverte et raisonnée de la religion dans notre société. Dans son texte, l’avocat Richard Malka nous guide à travers une réflexion sur les origines historiques de l’intolérance, ses manifestations contemporaines, et les moyens de la combattre.

Toutes les recettes de la soirées seront dédiés à la campagne de la Tsedaka, qui œuvre en faveur des associations sociales et de l’aide aux plus démunis. Réserver

  • Colloque sur les langues judéo-espagnoles – Dimanche 19 novembre de 14h à 18h

Les deux langues judéo-espagnoles vernaculaires, djudezmo ou djudyo (Ex-Empire ottoman) et haketia (Maroc), connaissent une certaine forme de « revival », tant du point de vue des locuteurs avec la multiplication des cours, conférences, concerts, visio-conférences… que des recherches au sein d’instituts comme l’Inalco en France, l’université Washington aux États-Unis, l’université hébraïque de Jérusalem, les universités Bar Ilan et Ben Gourion en Israël entre autres exemples. Il oscille entre ce mouvement et une pratique post-vernaculaire de ces deux langues. Or si elles sont très différentes, elles partagent un héritage espagnol médiéval constitué par la variété juive des langues romanes parlées dans la Péninsule ibérique avant l’expulsion et par la langue calque biblique nommée ladino par Joseph Nehama et H. V. Sephiha. Le colloque reviendra sur la dénomination large « judéo-espagnol » qui s’applique à la fois à la langue-calque de l’hébreu, au judéo-espagnol d’Orient et ses dialectes, à la haketia et ses dialectes, à ce que parlaient les Juifs en Espagne avant l’expulsion. Les noms de Ladino, Haketia, Tetuani, djudyo / djidyo/ djudezmo, español sefardi… recouvrent une réalité complexe et sont souvent source de confusion.

Il est apparu important de faire le point sur tous ces phénomènes au cours d’un colloque international le 19 novembre 2023 en invitant chercheurs et acteurs de différents pays engagés dans la diffusion des études sur « Les langues judéo-espagnoles » et dans la pratique orale et écrite de ces langues. Billetterie

  • Je n’ai pas dit mes derniers maux ! Un seul en scène de Bernard Bitan – Du dimanche 12 novembre 2023 au mercredi 15 novembre 2023

Seul en scène, Bernard Bitan met des mots sur les maux du peuple juif dans un spectacle percutant, engagé et émouvant. Après Israël, le spectacle est présenté pour la première fois en France à l’ECUJE

« Je n’ai pas dit mes derniers maux ! », le nouveau spectacle écrit et interprété par le talentueux comédien franco-israélien Bernard Bitan, est présenté pour la première fois en France, sur la scène de l’ECUJE du 12 au 15 novembre 2023. 

Avec ce seul en scène engagé, Bernard Bitan porte haut et fort la voix de tout un peuple en dressant un plaidoyer vibrant et sans concessions pour le peuple juif et Israël.

Sur scène, Bernard Bitan livre une performance exceptionnelle, qui est à la fois personnelle et universelle, dépeignant avec sincérité et sensibilité les réalités du peuple juif.

Avec une intensité sans égale et une émotion palpable, il donne vie à un spectacle percutant qui saisit, bouleverse et résonne en chacun de nous, , le tout avec une pointe d’humour mordant qui atténue la gravité du sujet sans en diminuer l’impact.

Dans « Je n’ai pas dit mes derniers maux ! », l’actualité brûlante se mêle à des thèmes intemporels, et le spectacle se fait plaidoyer. C’est un appel vibrant à la compréhension, à l’empathie et à l’humanité, une invitation à réfléchir sur notre rapport à l’universel, aux autres et au monde.

Ne manquez pas l’occasion d’assister à cette performance unique où toutes les vérités seront bonnes à dire sans filtre et sans concession mais rarement sans humour… Réserver

  • Israel Klezmer Orchestra – 12/11/2023 à 17h30 – Théâtre Antoine Watteau

Israel Klezmer Orchestra a été fondé en 2017 par Gershon Leizerson, musicien, compositeur et enseignant israélien. Leizerson, violoniste virtuose, est un expert de la musique klezmer, chercheur actif dans ce domaine et diplômé de l’école de musique Buchmann Mehta de Tel-Aviv.

L’orchestre se réjouit de participer à d’importantes représentations et à des activités culturelles en Israël et dans le monde entier et, tout en se consacrant à la préservation d’une tradition musicale ancienne, l’IKO a également l’intention d’interpréter de nouvelles œuvres de musique juive et israélienne, en s’appuyant sur une connaissance approfondie de la tradition folklorique juive.

L’Orchestre Klezmer d’Israël (IKO) est un grand ensemble musical qui interprète de la musique Klezmer, héritage musical des Juifs d’Europe de l’Est. Le groupe, unique en son genre dans le monde, possède une énergie qui rappelle le début du 20e siècle, à l’époque où les grands orchestres Klezmer étaient encore à la mode.

L’ensemble basé à Jérusalem se compose d’une vingtaine de musiciens jouant de divers instruments tels que les bois, les cuivres, les cordes et les percussions. Plusieurs membres sont des chanteurs accomplis, et le répertoire de l’orchestre comprend des chansons en yiddish, en hébreu et en anglais, ainsi que de la musique instrumentale virtuose et des danses juives traditionnelles. Billetterie

  • Les Juifs du Maroc – 21 novembre

Dans la continuité des « Rendez-vous de Rachi » consacrés aux Juifs d’Algérie (2021) et aux Juifs de Tunisie (2022) le Centre d’Art et de Culture vous convie à une soirée de réflexion et d’échanges autour de l’histoire des Juifs du Maroc, à l’occasion de la parution du nouveau n° de L’Arche.

De l’Antiquité au Protectorat, jusqu’à l’Indépendance du pays, de sa cuisine à sa musique et sa littérature, l’histoire des Juifs du Maroc est singulière et inspirante à plus d’un titre.

Entre ruptures, continuités, transmission, figures emblématiques qui ont traversé les âges, mais aussi phénomène de « revival » auprès de jeunes générations, cette histoire millénaire fascine.

Historiens, journalistes, passionnés du Maroc se retrouveront et échangeront sur la scène de l’Espace Rachi. Billetterie

  • Irène Jacob lit Irène Némirovsky

Pour ce premier Soliloque de notre Saison 2023-2024, l’actrice Irène Jacob (Prix d’interprétation féminine à Cannes) lit un florilège des textes de la romancière russe Irène Némirovsky, auteure du célèbre Suite française dont elle recevra à titre posthume le Prix Renaudot.

Actrice au cinéma et comédienne au théâtre, Irène Jacob s’est révélée au monde en 1991 en obtenant le Prix d’interprétation féminine au Festival de Cannes pour son rôle dans le film de Krysztof Kielslowski, La Double Vie de Véronique. Après avoir débuté sous la direction de Louis Malle dans Au revoir les enfants, elle a enchainé les rôles en menant une carrière internationale aux côtés de Michelangelo Antonioni et Wim Wenders, de Theo Angelopoulos, Agnieszka Holland, Paul Auster, Jonathan Nossiter, Hugh Hudson, Amos Gitai, Rithy Panh ou encore Krysztof Kielslowski pour Rouge. En France, elle a tourné sous la direction de Nadine Trintignant, Claude Lelouch, Serge Le Péron, Pascal Thomas ou Riad Sattouf et Jacques Deray. Billetterie

  • Conférence de Yann Le Bohec le 14 nov. 2023 : Les Juifs pendant l’Antiquité dans la province romaine de l’Afrique proconsulaire

Le 14 novembre 2023, la SHJT accueillera Yann Le Bohec, Professeur émérite à l’Université Paris Sorbonne, pour une conférence dont le thème sera : « Les Juifs pendant l’Antiquité dans la province romaine de l’Afrique proconsulaire (Tunisie et Libye actuelles) »

La conférence aura lieu à 18h30, à la Mairie du 9 ème arrondissement de Paris 6 rue Drouot Paris 9 ème (Salle du Conseil).

Entrée libre, inscription préalable obligatoire vis le lien suivant

  • « L’homme à tête de chou in Uruguay » – Variations sur la musique de Serge Gainsbourg

Incontournable tromboniste de la scène française depuis 20 ans, compagnon de route de Thomas de Pourquery, du Sacre du Tympan, de Nougaro, de Manu Dibango, Tony Allen et tant d’autres, Daniel Zimmermann se lance pour son troisième album chez Label Bleu dans une relecture très personnelle de l’œuvre de Serge Gainsbourg, avec les musiciens de son album multi-auréolé « Montagnes Russes ».

Vivant, ludique, émouvant, l’ensemble va et vient entre arrangements décalés et création de véritables nouvelles pièces, élaborées à partir d’ingrédients extraits de l’œuvre originale du mythique chanteur-compositeur. Concentrés sur le Gainsbourg d’avant Gainsbarre, le plus créatif du point de vue des mélodies, les 4 fortes têtes associent l’énergie brute d’un groupe de rock à la liberté créatrice et fougueuse du Jazz. De Bonnie & Clyde échoués en terres sahéliennes en Comic Strip azimutés, d’Amours perdues poignantes en Machins choses langoureux, de New York USA en Melody Nelson comme suspendus au-dessus de grooves implacables, ils multiplient les clins d’œil au maître pour mieux s’en détourner, insufflant son esprit de malice et d’irrévérence dans chacune de leurs envolées.

Daniel Zimmermann: trombone – Pierre Durand: guitare
Jérôme Regard: basse – Julien Charlet: batterie Billetterie

Nouvelles lectures

  • L’État des Juifs – de Théodor Herzl, suivi de ” Essai sur le sionisme : de l’État des Juifs à l’État d’Israël ” par Claude Klein

Alors que le conflit israélo-arabe prend une tournure de plus en plus tragique, il importe d’avoir accès au document fondateur du sionisme politique : Der Judenstaat de Theodor Herzl. Cette édition de poche reprend la nouvelle traduction de Claude Klein (publiée à La Découverte en 1990), assortie d’une postface inédite.
L’Essai sur le sionisme qui accompagne ce célèbre texte, publié en 1896, est bien davantage qu’une présentation de la vie et de l’œuvre de Theodor Herzl (1860-1904), juriste, journaliste et écrivain viennois, auteur d’un roman utopique, Altneuland. C’est une réflexion courageuse sur la force et les limites de la culture politique du mouvement sioniste que nous propose Claude Klein. Il s’agit pour lui de questionner, sans concession, l’actualité du sionisme et l’avenir d’Israël et, plus généralement, la situation du peuple juif. Lire la suite

Édition : La Découverte, 182 pages

  • L’exode oublié – juifs des pays arabes – de Moïse Rahmani

Le drame des réfugiés juifs des pays arabes a été occulté durant plus de cinquante ans.
La création d’Israël, en 1948, a déclenché envers les communautés juives des pays arabes une vague de violence entraînant un début d’exode. Chaque conflit entre Israël et ses voisins aura les mêmes conséquences : meurtres, arrestations, saisies des biens, expulsions… Par dizaines de milliers ils quittent cette terre d’Islam devenue inhospitalière. Aujourd’hui, moins de quatre mille trois cents Juifs vivent, toujours menacés, dans les pays arabo-musulmans. Lire la suite

Édition : LUC PIRE, 438 pages

Bonnes lectures !

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